Han Daeryong
Messages : 19 Date d'inscription : 30/09/2011 Age : 42
| Sujet: SULSULSULSULSUL Ven 25 Oct - 15:48 | |
| CHOI JIN RI - SULLI
« Different is good. But different is hard. Believe me, I know. »
AGE: 19 ans DATE DE NAISSANCE: Le 29 mars 1994 SEXUALITE: Aussi sentimentalement capable qu’un steak d’autruche ETUDE: ART-Théâtre
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© xstillalive
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Je suis un haengbok
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Thé, chocolat chaud ou Café ? Café Jour ou nuit ? Nuit Noir ou blanc ? Rose pouffiasse ? Chien ou chat ? Narwhalchien Sucré ou salé ? Salé Plan sexe ou amoureux ? Plan PS3 Corée ou Japon ? Corée Mer ou montagne ? Mer Ange ou démon ? Quitte à choisir une créature de fantaisie, va pour Gollum. 2012, fin du monde ou pas? Non, étant donné qu’on est en 2013 et qu’on est toujours vivants ! …Comment ça, je suis Captain Obvious ? L’Aile ou la cuisse ? La fesse :B
Jin Ri fait partie d’une famille relativement normale –car seule sa présence rend le tableau assez extraordinaire. Elle est la seconde plus jeune d’une fratrie de quatre, ayant deux grands frères et un petit frère, ainsi que des parents qui en ont vu de toutes les couleurs avec elle. Jin Ri est extrêmement proche de ses deux parents, mais surtout sa mère qu’elle considère comme son idole, probablement à cause du fait qu’elle a réussi à la supporter et ne l’a pas flanquée à un orphelinat même avec tout le fil qu’elle lui donnait à retordre en étant gosse. Aussi cliché et évident (ou pas, vu qu’il y a très certainement des membres d’un même groupe qui se détestent en secret) cela soit-il, elle considère également les f(x) comme sa seconde famille. Après tout, elle a après tout commencé à s’entraîner aux côtés de ses bandmates à ses douze ans. La jeune femme a donc en quelques sortes grandi avec elles et, à part sa famille, elles ont été les seules personnes à l’accepter malgré sa différence (son syndrome d’Asperger). Elle tient donc énormément à elles et a établi un lien très solide avec elles après sept années passées ensembles.
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Sulli est le genre de personne à qui il en faut peu pour être heureux. Donnez-lui de la bouffe et un truc pour s’occuper et elle vous foutra la paix jusqu’à ce que vous ayez besoin d’elle. Elle adore lire, et étant dotée d’une pensée analytique elle se tourne souvent vers les ouvrages et sujets scientifiques ou psychologiques, de quoi bien vous casser la tête en glissant tout ce qu’elle sait lors d’une conversation. Sa culture est comme la graisse ; plus elle l’étale, plus elle en a. À part le bouquinage, les passions de Sulli comprennent la musique –elle apprend d’ailleurs à jouer de la guitare, le théâtre et le cinéma (surtout les films d’animation) et la culture populaire en général. Ses hobbies se résument donc à la comédie, la lecture, les marathons de films, les sorties avec ses amis et collectionner des parfums. Mais ce qu’elle préfère faire c’est sans doutes rêvasser, elle passe donc le plus clair de son temps la tête dans les nuages à se faire des scénarios épiques impliquant Christoph Waltz (aka l’homme de sa vie) et des éruptions de poneys mutants ou autres trucs du genre. Sulli adore également qu’on la flatte, qu’on lui fasse des compliments et surtout qu’on félicite son intelligence et son dévouement pour les choses qu’elle aime, même si elle ne ressent pas le besoin d’être constamment le centre d’attention. Passons donc à ce qu’elle déteste. Parmi les choses que Jin Ri ne supporte pas se trouvent les gens qui s’offusquent très facilement et se plaignent constamment de sa franchise poignante et souvent dispensable alors qu’ils ne lui ont jamais fait comprendre que ça les blessait, ainsi ceux qui critiquent son perfectionnisme et son attention aux petits détails. Elle exècre tout particulièrement ceux qui se moquent de sa passion pour des choses souvent considérées comme triviales, genre l’histoire des petits soldats de plomb. Elle a peur des pigeons (faut dire que les abrutis, c’est flippant) parce que ça sort de nulle part ce qui est très suspicieux, mais sa plus grande phobie est sans doute celle de l’eau. Depuis qu’on lui a tenu la tête sous l’eau quand elle était gosse et qu’elle a failli y rester, Sulli a une peur bleue des étendues d’eau et refuse de s’y avancer quand ça dépasse ses genoux. Donc, si jamais vous OSEZ la pousser dans une piscine ou autre, elle vous inscrira « troufion » sur le front avec une fourchette.
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Jin Ri a commencé sa carrière très tôt ; en 2005, à l’âge de onze ans, elle a débuté dans le drama Love Needs A Miracle et accessoirement reçu le King Ribbon Child Award, marquant définitivement son futur d’enfant-star. Par la suite, elle a participé à d’autres dramas ainsi que deux films (Punch Lady et BABO) entre 2005 et 2008, rejoignant au passage les rangs de la SM en tant que trainee un an après ses débuts à la télévision. C’est en 2009 que le nouveau groupe de la SM nommé f(x) débuta et eut pas mal de succès, ce qui étonna Sulli, qui s’attendait à ce que le nom du groupe donne des cauchemars aux adolescents sensés constituer leur public principal. Depuis leurs débuts, les f(x) ont sorti trois albums, deux mini-albums et cinq singles et contribué à l’OST de plusieurs dramas, ainsi qu’eu leurs propres émissions télévisées relatant leurs vies de jeunes bambines émoustillées. En dehors de ses activités avec le groupe, Sulli s’est fait connaître par sa carrière d’actrice, participant à d’autres dramas et prêtant pour la première fois sa voix à un personnage de film animé, ainsi que par ses nombreux scandales car elle s’autorise à glander sur scène, tenir la main en public à un mec qui pourrait être son grand-père et proférer des vulgarités en un langage qu’elle ne connaît pas en pleine émission publique. Et cao ni ma si ça vous dérange.
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Jin Ri pense que son physique n’aurait rien eu d’extraordinaire si, d’après elle, elle n’avait pas la particularité de ressembler à un rat tondu botoxé. Dans le sens positif du terme, évidemment, même si on peut se demander comment ressembler à un rat version Jocelyn Wildenstein peut être une bonne chose. En fait, lorsqu’elle dit ça, elle parle surtout de sa petite frimousse de sale gosse éternelle, ses yeux de loutre homicide et ses grosses lèvres qui lui évoquent les trappes rosées des petites souris. Il faut dire qu’elles ont un point en commun (à part le fait qu’elle fait des bruits de souris bizarre dans son sommeil) ; si les gueules des bestioles renferment des dents déchirantes, c’est les paroles qui s’échappent de celle de la demoiselle qui peuvent être particulièrement écorchantes, même si elle ne le fait pas exprès. Outre cette comparaison bestiale dans tous les sens du terme, Jin Ri se démarque également par sa taille qui lui a valu un accès direct au club des « Giant Babies » dont elle aurait préféré ne pas faire partie au vu du nom pourri –mais bon, il faut dire que l’appellation embarrassante ne l’a pas empêchée de rejoindre les f(x) non plus. La demoiselle mesure 1m70 pour 55 kilos, dépassant donc toutes ses bandmates ce qui est un sacré avantage car elle peut se servir de leurs têtes pour y reposer ses pieds, je veux dire, s’y accouder. À part ses cheveux qui, naturellement (enfin, artificiellement plutôt) changent très souvent d’allure entre les mains des coiffeuses de l’agence et donc elle ne s’approche donc que pour un shampooing (ou un cheveu qui servira à invoquer un esprit), le seul aspect de son apparence dont elle s’occupe elle-même est son style vestimentaire, qui a tout de même l’air assez négligé. Comment dire, Sulli préfère le confortable au plaisant visuellement et elle sillonnerait sûrement les tapis rouges en Havaianas si on la laissait faire. La jeune demoiselle n’est en fait pas très coquette, et si Krystal n’avait pas été dans le placard assez longtemps pour s’y connaître en la matière et lui faire enfiler des tenues potables avant de s’afficher en public, elle serait surnommée la Ben Laden de la mode.
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Jin Ri n’est pas méchante. Vraiment pas. Bon, certes, elle dit souvent des choses très blessantes mais elle ne le fait pas du tout exprès même quand elle les pense vraiment, car après tout elle n’est pas du genre à vitupérer des calomnies juste pour ennuyer quelqu’un. Jin Ri est en faite atteinte du syndrome d’Asperger, elle ne comprend donc pas les conventions sociales et agit souvent à contresens. Sa communication non verbale est très limitée, ce qui fait qu’elle copie les expressions faciales des autres au lieu de les assimiler et les utilise parfois de façon inappropriée, par exemple en souriant comme un maillot jaune pendant des obsèques. Sa sincérité cinglante et objective vient du fait qu’elle est peu connectée aux sentiments des autres et ne comprend pas la signification profonde de ce qu’on lui dit, donc à moins de lui signaler clairement que ses paroles sont blessantes et qu’elle devrait arrêter, elle continuera à vous en envoyer plein la face. C’est aussi parce qu’elle est très sensible aux détails et cela l’a rendue très perfectionniste et stricte sur certains points mais aussi capable de remarquer facilement les défauts des autres ; qu’elle n’hésite pas à pointer du doigt innocemment. Cependant cette précision compense pour son handicap sentimental car elle lui permet de discerner les habitudes, tics et manières qu’elle recherchera par curiosité, lui permettant donc de comprendre leur signification et, par conséquent, les sentiments ou états d’âme des personnes concernées. Sulli a beau être une personne très drôle et comique, son sens de l’humour reste assez simple et sommaire. En effet, la demoiselle est incapable de comprendre certaines subtilités du langage. Donc, non seulement elle ne saisit pas des choses comme l’ironie, mais en plus elle prend les choses au sens littéraire. Si vous l’appelez « ma poulette » elle risque fort de penser que vous la traitez de volatile, faites donc attention. De la même manière, elle est inconsciente des notions abstraites telles que la poésie, les sens figurés ou les expressions comme « donner sa langue au chat » qui la confondent facilement. On a tendance à croire qu’elle est stupide à cause de son incapacité à comprendre le sarcasme ou les idiomes les plus populaires, ce qui est complètement faux, d’autant que Jin Ri est en fait quelqu’un de très intelligent et logique malgré son handicap linguistique. C’est d’ailleurs pour cette raison que sa façon de parler est très directe et logique. Un peu comme Spock. Elle est également dénuée de toute empathie car incapable d’imaginer les sentiments des autres et de se mettre à leur place, même si cela ne l’empêche pas d’être compatissante. À cause de ce syndrome, Sulli a des difficultés de concentration ; elle est très sensible au bruit, à la lumière, au toucher et au mouvement ce qui fait qu’elle est facilement distraite. Cette sensibilité lui a mené la vie dure car non seulement la vie d’idole implique l’exposition très fréquente au tapage et aux lumières des concerts, mais également car elle a une altération de la coordination qui lui complique la tâche lorsqu’il s’agit de danser. La jeune femme a d’ailleurs souffert d’une légère dépression en étant trainee à cause des difficultés que lui posait son « anomalie ». Donc, quand vous croyez que Sulli ne fait pas d’efforts sur scène, c’est tout à fait le contraire ; elle fait de son mieux pour que cela ne se produise plus mais il lui arrive parfois de perdre le fil des mouvements de la chorégraphie, même si elle s’en souvient très bien. Difficile d’oublier les pas quand on possède une mémoire quasi-photographique, l’un des seuls avantages de l’Asperger. Comme vous l’aurez constaté, l’Asperger de Sulli occupe une très importante place dans sa personnalité, cependant ce n’est pas la seule chose qui la caractérise. On pourrait très facilement la prendre pour une sociopathe à cause de ce trouble si elle n’était pas naturellement une personne très joyeuse et enthousiaste malgré son inaptitude à comprendre plusieurs concepts de sa vie et de son environnement. Même si sa logique l’empêche de se faire aveuglément de faux-espoirs ou de faire preuve de positivité désespérée –tout simplement car elle se rend vite à l’évidence quand la situation est grave et qu’elle ne se résoudra pas par magie- elle garde la tête haute et, au lieu d’attendre un miracle, elle fait tout ce qu’elle peut pour arranger son cas. Donc, Sulli est une personne très déterminée et entreprenante qui préfère compter sur elle-même. Son égocentrisme vient peut-être de là. Elle ne requiert pas constamment l’attention des autres, cependant elle est non seulement très confiante en elle-même mais aussi assez narcissique, dû au fait que pendant la plus grande partie de sa vie elle n’a côtoyé que des gens incapables de la saisir et préférant donc l’éviter ou même se moquer d’elle, ce qui fait qu’elle a appris à être son propre support. Cependant elle n’est pas aussi égoïste qu’on le penserait, elle reste soucieuse de ses proches et dès qu’elle remarque que quelque chose ne va pas elle s’empresse de prendre des nouvelles, d’essayer de rassurer la personne et de la chouchouter même si elle ne sait pas trop comment s’y prendre. Elle est verbalement maladroite, si on veut dire ; elle choisit parfois les mauvais mots et les mauvaises actions aux mauvais moments, même quand ses intentions sont bonnes, mais ça n’empêche qu’elle fait de son mieux pour être quelqu’un de sociable, amical et agréable.
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• Elle est née à Yangsan, au sud de Gyeongsan où elle n’a pas pu recevoir de traitement spécial pour son Asperger et a vécu sans être consciente de son trouble jusqu’à ses dix ans • Etait constamment harcelée et moquée à cause de sa différence, ce qui l’a rendue renfermée sur elle-même • Voulait être scientifique (astrophysicienne ?) mais a fini par s’orienter vers le théâtre, voulant s’en servir pour apprendre à ressentir les émotions de la même façon qu’à les autres, à être « normale » (c’est le comble pour une personne atteinte du syndrome d’Asperger de travailler dans le domaine artistique) • A déménagé à Séoul où elle a eu énormément de mal à se faire à son nouvel environnement et est devenue dépressive au début de sa période de trainee à cause de sa difficulté à bien danser • Etait éloignée du reste du groupe et détestait tout particulièrement Krystal car elle pensait qu’elle la trouvait bizarre et la prenait de haut à cause de sa maladie • A fini par s’ouvrir au groupe après qu’elles se soient montrées particulièrement acceptantes de sa condition et elles sont devenues extrêmement proches, surtout avec Krystal qui est devenu un grand support et dont elle était inséparable • Mène une vie pépère depuis ses débuts
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PSEUDO: Minori 8D AGE [OBLIGATOIRE]: 16 ans COMMENT AS-TU CONNU VIP? C’est un peu comme si on me demandait comment j’ai connu ma mère wtf :(Je crois que c’était par un topsite il y a très longtemps dans une galaxie fort fort lointaine (bon y’a trois ans en fait) PRÉSENCE: 7j/7 comme d’hab quoi ! TON AVIS: JE SUIS ENFIN UNE f(x), LE RÊVE DE MA VIE SE REALISE, MON DESTIN EST ACCOMPLI, HALLELUJAH *pète des paillettes et meurt* CODE REGLEMENT [OBLIGATOIRE]: Do you love me bad man ? Or is it a trap? TEST RP [OBLIGATOIRE]:
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Lara était plutôt satisfaite d'avoir échappé aux épithètes sournoises d'Allen même si elle n'en avait que faire qu'il l'insulte. Elle doutait fort que ce soit parce qu'il la craignait cependant, car la demoiselle avait beau avoir une réputation de femme d'acier, on ne la trouvait pas toujours intimidante. Elle en déduit donc qu'il était à cours d'idées, ou tout au pire qu'il avait ne serait-ce qu'une nuance de respect pour elle, ce à quoi elle ne préférait pas trop croire car elle doutait qu'une personne comme lui aie la notion du respect. La demoiselle avait beau ne pas être dotée de super-pouvoirs qui permettaient de distinguer l'aura des gens, elle pouvait bien voir que monsieur Dark n'était pas des plus sympathiques. De plus, la tension était tellement palpable qu'on pourrait foncer dedans comme une vitre en verre. Ce n'était vraiment pas l'ambiance qu'elle espérait trouver, surtout pas pour une tâche pareille. Mais bon, ils étaient là pour éviter un éventuel danger et non pour faire ami-ami alors tant qu'ils ne débordaient pas et se concentraient sur la mission. La demoiselle se contenta donc de rouler des yeux aux provocations du magicien car se disputer ne mènerait à rien. Elle ne put s'empêcher de soupirer en voyant le Pokémon réagir avec énervement -si ça continuait comme ça ils ne feraient que perdre du temps et, si Caligare était vrai, le virus aurait gagné trop de terrain lorsqu'ils se seraient enfin décidés à laisser leurs quiproquos de côté et se bouger l'arrière-train. Heureusement que Layton était là, elle n'avait aucune envie de faire la babysitter sage et éclairée. « Je suggère que nous tentions de sensibiliser les habitants que nous verrons à la menace, voire, si possible, que nous les convainquions d’évacuer les lieux au plus vite. Mieux vaut prévenir que guérir. » Sensibiliser les habitants ? L'idée ne semblait pas trop pertinente à la jeune demoiselle. Il faut dire qu'elle-même n'était pas entièrement convaincue de l'existence de ce virus même si elle le prenait quand même au sérieux, ainsi elle aurait préféré faire le tour du jeu à la recherche de preuves. Ce n'était pas que pour satisfaire sa curiosité, les habitants seraient également plus enclins à les écouter s'ils avaient des preuves convaincantes. Cependant Lara jugea que s'ils étaient là, c'est que la menace était claire et que donc ils n'avaient pas le temps de courir partout en cherchant je-ne-sais-quoi. « LES SENSIBILISER ? Tu rigoles j'espère Layton. Pourquoi ces gens nous croiraient-ils alors qu'aucunes menaces ne pèse sur le jeu sinon celui d'être débranché. Ils savent très bien à quoi s'attendre, laissons les se débrouiller et cherchons plutôt des traces de ce Caligare, si bien sur il existe. » En entendant cette réplique, Lara fit volte-face sans même s'en rendre compte et lui adressa un regard agacé. Il avait sans aucun doute raison, selon elle du moins, mais sa façon de s'exprimer la dérangeait énormément. Soit il avait vraiment quelque chose contre Hershel, soit c'était juste un enfoiré fini. Quoi qu'il en soit, s'il avait un tant soi peu de maturité il saurait qu'il vaudrait mieux laisser ça de côté le temps de finir leur affaire. D'ailleurs, elle n'hésita pas à le lui faire remarquer. « Peut-être que si vous laissiez votre scepticisme ainsi que votre caractère rebutant de côté, nous ferons plus de progrès. Au lieu de chercher la petite bête comme un bambin têtu, vous devriez songer à vous rendre utile. » lança-t-elle très calmement mais sans changer d'expression. Voilà, c'était dit. Elle doutait fort que cela change quoi que ce soit à la situation mais ça faisait du bien de le dire tout de même. Après ce petit coup de gueule qui n'en avait pas l'air d'un (elle pouvait vous dire d'aller vous faire empaler sur les cornes du diable qu'elle irait toujours l'air aussi serein) elle se reconcentra sur sa tâche, mais à peine s'apprêtait-elle à adresser la parole à un groupe de villageois qu'elle vit la foudre s'abattre tout près. Elle se retourna sur ses gardes, prête à attaquer -elle ne comptait pas faire la guerre au ciel pour cause de mauvais temps, mais un éclair inattendu ça n'est jamais bon signe- mais ne vit que la petite fille qui était avec eux s'éloigner, ainsi que des villageois s'enfuir. Ah bah, c'est sûr que pour sensibiliser, ils y allaient fort, très fort même. Lara se demanda si quelque chose, ne serait-ce qu'une toute petite chose de bien allait arriver aujourd'hui. Tout avait l'air d'aller de travers. Et voilà que l'autre brailleur rouvrait la bouche, il ne manquait que ça ! Elle trouvait toujours son ton aussi exaspérant, cependant elle ne pouvait qu'être d'accord. « Il a raison, ce n'est vraiment pas la meilleure façon de sensibiliser qui que ce soit. Je pense qu'on ne peut rien pour eux, de toute façon ce n'est pas comme si les alerter servirait à quoi que ce soit. On ferait mieux de mener notre propre enquête sur le virus, les résultats seront sans doutes plus fructueux que courir après des villageois en leur récitant des choses pareilles. » Poursuivre le virus lui-même était sans doute une meilleure option qu'alerter les villageois de quelque menace contre laquelle ils étaient impuissants. De plus, leur répéter qu'une infection allait détruire leur jeu et les en débrancher sonnait également comme une menace et, en plus de leur faire perdre toute crédibilité, ils perdraient également du temps. Il ne leur restait plus qu'à chercher des traces de Caligare dans le coin, même s'ils n'avaient aucune idée de ce à quoi ça ressemblait, à part que c'était noir. Lara se rappela alors de ce qu'elle avait entendu en faisant elle-même ses propres petites recherches à la gare et, pensant que c'était un bon début, s'approcha du professeur Layton et posa une main sur son épaule avant de poser la question. « J'ai cru entendre que votre jeu s'est fait débrancher ? Je suppose que, dans ce cas, vous êtes encore une fois le mieux qualifié pour nous mettre sur la bonne piste. » Elle n'avait entendu que des rumeurs à ce sujet mais elle doutait fort qu'une personne comme Hershel puisse mentir sur Caligare. Elle lui faisait donc entièrement confiance sur le coup car si son jeu avait vraiment atteint par Caligare il devait avoir une idée des symptômes et aspects du virus.
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